Emblématiques de Drouant, les salons ont été ravivés, embellis. Ils sont à nouveau prêts à accueillir les jurés pour des conversations animées, tout comme les convives qui souhaitent se retrouver pour de délicieux moments privés.
Parfaitement équipés, ils permettent d’organiser tout type d’événement, garantissant aux hôtes confort, tranquillité et discrétion.
La salle du premier étage, désormais nommée bibliothèque, a été réaménagée pour offrir une expérience intime et chaleureuse. Elle peut accueillir jusqu’à 50 personnes.
Dans cet espace baigné de lumière, où l’on retrouve le sol en mosaïque, les convives pourront apprécier la bibliothèque abritant l’intégralité des œuvres primées depuis la création du Prix Goncourt, en éditions originales.
Jusqu’ici nommé Rodin, il est rebaptisé Proust à l’occasion du centenaire du prix Goncourt que l’auteur reçut pour À l’ombre des jeunes filles en fleurs.
On peut y contempler l’édition originale numérotée 8/128, datée de novembre 1918, de l’œuvre qui valut au célèbre écrivain mondain le Goncourt en 1919. L’hommage se poursuit sur les murs avec une fresque originale inspirée du roman, dessinée par l’artiste italien Roberto Ruspoli.
Cet élégant salon à l’atmosphère chaleureuse accueille depuis 1914 les membres de l’académie Goncourt lors de leurs délibérations mensuelles. Témoins de l’histoire de la grande littérature française, ces murs encadrent la fameuse table ovale qui sert de bureau aux « Dix Couverts », et qui peut également accueillir jusqu’à 16 convives pour un événement privé.
Et s’ils n’auront pas la chance d’utiliser les précieux couverts gravés des académiciens, ils pourront néanmoins apprécier les Arts de la table spécialement créés pour ce salon, au motif exclusif années 30 issu des archives de la Maison Bernardaud.
Raffinement, culture et exclusivité sont les maîtres mots de ce lieu presque sacré.
Son nom est un hommage à Théophraste Renaudot (1586 – 1653), médecin du roi, surtout connu comme le premier journaliste français, fondateur de la « Gazette de France » en 1631. Depuis la création du prix littéraire en 1926, ce salon reçoit chaque année les membres du jury Renaudot.
Il peut également accueillir de 3 à 12 personnes pour des événements professionnels ou privés.
Toujours imaginés par Roberto Ruspoli, les hauts reliefs qui habillent les murs évoquent avec sensibilité la liberté de la presse dont Renaudot est à l’origine.
Un lieu un peu secret pour un instant hors du temps dans lequel Colette, qui fut la première femme présidente de l’Académie Goncourt, déjeunait chaque semaine en tête à tête avec un invité.
